« Ce ne sont pas les rebelles qui créent les problèmes du monde, mais les problèmes du monde qui créent des rebelles. La révolte c’est la vie, la soumission c’est la mort. »
Ricardo Flores Magon.
Salut à toi, jeune Padawan
N’est pas rebelle, punk ou anarchiste qui veut. L’esprit de contradiction n’est pas donné à tout le monde, et rare sont ceux qui portent haut et fort leurs opinions.
Si tu en doutais, voici encore une preuve que ton fidèle serviteur est de cette race indomptable : je me tartine de monoï alors que les maillots sont rangés et que nous sommes 89 jours avant Noël. Oui, je sais, une info comme ça, à brûle-pourpoint, c’est un peu intense, comme information, c’est bien pour cela que je t’ai préparé ce petit article pour que toi aussi, si tu le désires, tu puisses joindre la résistance.
C’est parti.
Le monoï en parfum
Eh oui, ce n’est pas parce qu’on préfère le ski au sable chaud qu’on ne peut pas aimer les odeurs d’été, même si le monoï et moi, ça a pourtant été un long désamour. Trop sucrée, je n’aime pas non plus les huiles trop collantes sur la peau en été lorsque au sortir de la douche, on est déjà en train de transpirer à nouveau, bref, je me contentais de ma divine fleur d’oranger, et laissait ces odeurs de plages aux aficionados.
Et puis, un jour, j’ai découvert le monoï en parfum. Plus botanique que sucré, plus subtil qu’enivrant, et ça a été le coup de grâce. C’est la petite maque Tiamà qui m’a réconciliée avec cette senteur des îles. Ils ont réussi à créer un vrai parfum floral, mais aussi botanique, sans le sucre qui confère à la plupart des monoï du commerce cette odeur enfantine qui me déplaît tant. J’ai opté pour le parfum solide (photo, ndlr), mais existe aussi le parfum en bouteille classique.
Un deuxième parfum qui te fait penser à un jour de plage, c’est le Beach Walk de la gamme Replica de la Maison Margiela, dont je t’ai déjà parlé ici. Un vrai parfum fleuri estival qui réconcilie avec toutes les odeurs estivales conventionnelles, pour les amoureux des vacances d’été, ou pour les rebelles, lol.
Le monoï en soins
Joignons l’utile à l’agréable, et pourquoi pas un savon qui sent bon le monoï, pour cet automne ? J’en ai rêvé, Les Petits Prodiges l’ont fait, avec ce savon bio qui laisse la peau douce et sent le bain de soleil, alors qu’il fait 12 °C dehors. Vive la rébellion !
Et puis, après un bon gommage, il faut s’hydrater, certes, mais s’il y a des paillettes, c’est encore mieux ! Ce lait teinté Energie Fruit laisse la peau nourrie, rebondie, bien hydratée, mais aussi de jolies paillettes fines sur la peau. Et oui, œuf corse, il sent le monoï, c’est le sujet du billet du jour !
Voici pour le petit article sacrément rebelle du jour. Je suis sûre que tu en as encore la chair de poule, mais que veux-tu, c’est le fruit d’années et d’années de folie douce ! Plus sérieusement, nous nous retrouverons la semaine prochaine pour un article capital concernant notre alimentation, alors comme disent nos amis les anglo-saxons : stay tuned !
Salutations polynésiennes 🏝️